Premier Pas [libre]

Il est 7 heur 37 du matin lorsque Ania pose le premier hors de sa maison depuis bien longtemps, c’est un instant mémorable pour la jeune fille d’origine russe. Le soleil l’éblouissait, tout en clignant des yeux et essayant de bloquer la lumière du soleil avec sa main elle leva la tète et regarda en premier le ciel: aujourd’hui il y avait beaucoup de nuage grisâtre pour cacher le beau bleu du ciel qui apparaissait tout de même par endroit, mais c’est tout à fait normal, nous somme encore en hiver. Un nuage vint gentiment se poster devant le soleil permettant alors à Ania de mieux voir sa rue. C’était un cartier bourgeois, les maison était pratiquement toutes pareilles au yeux de la jeune fille; blanche, grande, clôturé... Elle ne s’attarda pas plus sur c’est maisons qu’elle voyait déjà tout les jours par la fenêtre.

Ce jour là Ania portait une robe crème à manche longue et au tissu suffisamment épais pour la protéger du froid, l’habille était surmonter d’une verte à deux boutons et à col, vert pâle, les bouton son noir. Ses jambes fines étaient, elles, recouverte d’un collant blanc sans motif, et avec tout cela, à ses pieds, elle portait un paire de chaussure qui, pour rester dans l’ensemble sobre, était blanche.
Pour elle ce genre d'accoutrement est quelque chose que l’on met tout les jours, donc elle ne s’était pas faite spécialement «belle» pour son premier jour dans un établissement scolaire.
Son pas n’était pas pressé pourtant la jeune fille avait vraiment hâte d’être arriver, tellement hate qu’elle trébucha sur une motte de neige pas encore fondu faute de ne as avoir fait attention à ce qu’il y avait devant elle. Ce trébuchement eu pour effet de salir le bout de sa robe crème. Tant pis, elle continuera son chemin sans y faire attention, après tout, ce n’est qu’une tache brune au bout d’une robe crème.... Ce n’est pas si flagrant.

La petite russe arriva devant le bâtiment qui lui donnerait opportunité de changer d’horizon, d’ailleurs, c’est déjà un peut grâce à ce lycée qu’elle eu le droit de marcher en ville jusqu’à lui. C’est parce que ce lieu existe qu’elle va enfin faire elle aussi partit de ce monde en temps que personne apparentière, mais qui ne l’ai pas aussi.

*Chaque personne à son apparence et son caractère, chaque personne est apparentière, celle qui ne l’est pas le deviendra quand elle comprendra.*

Ania se dit souvent ce genre de chose, peut être a telle une âme de philosophe? Mystère et boule de gomme.
Elle passa le portail qui délimitait la parcelle du lycée et ensuite entra dans le vieux bâtiment. Bien droite, les mains jointe devant elle, elle avança dans le hall d’un air principal et d’un pas ni trop rapide ni trop lent. Même si on pouvait avoir l’impression qu’elle gardait le regard fixe devant elle en réalité elle observait tout ce qu’il y avait autour; l’architecture de l’endroit qu’elle trouvait fort sympathique, les quelques rares visage qu’elle croisait dans le hall. Était elle aussi calme qu’elle en avait l’aire?

*... Où est ce que je doit me rendre? *

Il fallait me l'avouer, j'en avais plus que marre d'être toute seule dans ma chambre. D'accord, ça ne faisait pas longtemps que j'avais changer de chambre, attendant maintenant ma nouvelle colocataire. Elle n'était pas une ancienne du lycée, à ce que j'avais compris... Une nouvelle alors! C'est super, j'adore rencontrer du nouveau monde! Tant qu'ils me sont sympathique...

Enfin, je ne savais pas quand ma coloc allait arriver. En attendant, je devais me trouver de quoi à faire pour tuer le temps. Inutile de penser faire des devoirs, je n'en avais même pas encore, puisque je n'étais pas encore aller en cours cette année. et inutile de penser rester enfermée dans ma chambre toute seule, comme seule une humaine peureuse le ferait!

Je m'habillai donc rapidement, en mettant une légère robe noir à manche courte, avec de jolies rubans roses sur ma taille et au niveau des épaules. J'enfilai aussi mes bas rayés rose et noir, avant de mettre mes petites bottes noires. Un petit maquillage rapide... et hop, j'étais prête à affronter avec le sourire tous les danger qui m'attendaient dehors! Je n'oubliai pas, bien sur, de m'armer comme j'en avais l'habitude, cachant mes deux dagues à leur endroit habituel. Je suis humaine, il ne faut pas l'oublier. Ma vie dépend de petits bouts de métal... pitoyable.

J'allais sortir de ma chambre lorsque je remarquai mon bandage, seule morceau blanc dans ma tenue. Je ne pouvais toutefois pas l'enlever de mon poignet... Je sortis donc un autre ruban rose de mes affaires et l'enroulai autour de mon bandage, en une jolie boucle toute féminine. J'étais fin prête.

Je ne savais toutefois pas où aller, pourtant... Bah, pourquoi pas le hall? Comme ça, si j'ai envie de sortir dehors profiter du beau soleil malgré le froid qu'il faisait encore, je serais tout près! Je ne mis pas de temps à y arriver. Il faut dire que je connaissais maintenant le lycée par coeur, ou presque. J'avais l'habitude d'y vivre, de m'y déplacer.

Dans l'entrée, mon regard fut vite attirée par une jolie jeune femme, d'environ mon âge, je dirais. Il faut dire qu'elle était dure à manquer avec sa peau pâle, ses cheveux pâles et sa robe pâle... Un peu comme un ange en plein milieu d'une foule qui pouvait bien contenir des vampires et des démons... Il était si dure de la manquer que j'étais certaine qu'elle était nouvelle dans cet établissement. Bon, j'étais de bonne humeur, pour l'instant, et j'en avais marre d'être seule, puisque mes amies avait changé de ville où avaient tout simplement finie le lycée... Je m'avançai donc vers la supposée nouvelle.

-Salut! Tu es nouvelle? Tu veux que je te serve de guide dans l'école?

Puis je lui tendis la main, tout sourire.

-Je m'appelle Emiu Otaka, et toi?

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