Oublie d'un temps passé... [Libre]

Belle nuit en perspective... D'un noir encre était le ciel, une brume épaisse pourtant translucide guettait le moindre mouvement brillant. Intriguant il semblait dormir paisiblement dans le doux son de la brise titanesque qui s'abattait sur l'endroit. Couleur étoilé éteinte et assoupis dans une valse nocturne au rythme du cries des âmes errantes, branches s'entrechoquant sous le poids de la nature. Cerisier fleuris, pétales dansant elle aussi, peu à peu l'astre lunaire fit son apparitions. Comme une ombre furtive, au commencement, il semblait hésiter à monter. Jouant avec la brume se cachant et réapparaissent. Peu luisant, peu intéressant, un seul quart de lune, un seul mais pourtant... Oui pourtant il n'en était pas moins magnifique. A la fin de sa course folle vers le destin il était monter si haut qu'on le voyait de loin. Éclairant doucement, sans briser le charmes de la nuit, atténuant le chant des âmes et du vent il semblait dansait lui aussi. Les étoiles quand à elle décidèrent à montrer leur puissance. Elle se faisait savoir si bien, si merveilleusement, qu'elle aurait plus être remercier... Remercier d'éclairaient une sombre réalité, remercier d'être là pour fredonnait, pour grandir et même émerveiller le plus froid des êtres... Mais personne ne prenait de l'importance à cela, personne ne semblait comprendre le poids de leur chance...

Elle ? Elle souriait tout doucement... Elle, elle hocha la tête en signe d'encouragement. Signe de compensations et de soumissions, elle s'inclina. Au milieu de la cour, tête baisait, elle était seule. Seule mais pourtant accompagner, des âmes, des morts, de ses serviteur et encore du ciel. L'infinité et les trépasser était ses seules compagnies. Elle n'était pas abandonner et elle le savait. Elle se contentait de cela, cela lui convenait, l'intriguait et la satisfaisait. Cheveux roux lâchait comme à son habitude pied nues et robe d'un temps passait elle tournait, tournait. Dansait sous les pétales, jouait avec les âmes chantait avec les étoiles elle entendait le hurlement de désespoir qui s'attachait à elle. La valse mortuaire, qu'elle aurait aimé la dernière, était un soulagement fictifs qui apaisait pendant un temps ses tourments, ses questions...

Un petit rire traversa le rempart de ses lèvres si pâle se soir... Pâle mais moins que sa peau, si blanche, si pur... Elle était si belle mais rongeait de l'intérieur... Comme détruite, elle mentait si bien au autres et à elle mêmes... Marya Nikolaï c'était son nom, son unique nom au son si insignifiant et humain. Au nom protecteur qui lui procurait une identité qu'elle avait perdu il y a bien longtemps maintenant. Si on lui aurais demandé qui elle était elle aurais juste souris et n'aurais rien dit. Car elle même c'était perdu, elle même c'était oublier. Oublier celle qu'elle était avant, qu'elle avait effacer inconsciemment. Et tout d'un coup l'utilité de tenir un journal lui traversa l'esprit. Elle avait bien fait... Pour ne plus oublier les moments joyeux qui peuplerait son après vie, elle l'espérait...

Puis sa voix devint plus forte, plus mélancolique, plus triste... Bien plus féerique. Elle semblait être une princesse de l'ombre dansant la valse avec pour unique cavalier le vent et les êtres invisibles pour les gens. Chantant tout doucement avec le cries des âmes, sa voix résonnait dans la cour. Traversant gracieusement le rempart des arbres et des murs, des étoiles et des bâtiments. Porter par le vent, un simple silencieux aurait entendue... Entendue mais aurait crut à une hallucinations. Totalement irréelle, beau, et d'un autre temps pour être existant peu de personne y aurait crut. Mais beaucoup se serait déplacer si il avait put le localiser... Le chant pourtant, pour quelqu'un remplit d'attentions pouvait le trouver. Pouvait suivre la trace qu'il laissait pour remonter à la cour ou elle était. Quelqu'un l'aurait-il fait ?... Bien vite pourtant quelques curieux observaient par la fenêtre du lycée. Ceux-ci avait eu de la chance d'être si proche... Pourtant aucun n'avaient eu le courage de descendre, d'abordait cette fille du temps passait, cette vampire qui maintenant pleurant en tombant au sol. Mains poser autour de son visage de poupée elle laissait couler les larmes sans s'en soucier...

Un regard porter au ciel, une forte envie de dormir la prenait. Les fantômes se regroupait autour de la femme, l'observait, elle leur maîtresse, celle qui possédait la voix les avait toucher et sortit de leur repos éternelle. Elle qui pouvait les contrôler, elle cette nécromancienne, elle se tourna sur le côté. Ne voulant plus regarder l'infinité encres qui commençait peu à peu à s'éclaircir devant elle. Ne voulant plus se sentir insecte dans cette fourmilière qu'était la Terre. Ne voulant plus se perdre mélancoliquement dans ses questions sont passé, ou encore à cette contemplations du ciel qui lui donnait de faux espoirs. Elle ne voulait plus rêvé, pourtant son regard était attirer inexorablement vers l'étendue profonde encré dans le rêve de la réalité parfaite... De l'utopie, elle sourit une nouvelle fois. A quoi bon luter ? A quoi bon pensé que cela allait changer, après tout se qui était fait était fait...

Maintenant assise, genoux replier contre sa poitrine, ange au yeux cendrer, princesse oublier d'un enfer passé, Marya, vampire anonyme dans cette terre bien trop peupler, jeune femme au visage porcelaine de poupée, élève perdu dans ses pensé mélancolique... Elle attendait que quelque chose se passe, que quelque chose change. Elle n'avait rien à faire, elle ne voulait pas que cela change dans le fond? Dépressive mais ne voulant pas s'en sortir elle était juste intelligente. Car elle avait peur du futur, d'avancer dans se monde auquel elle ne s'était jamais intégrer. Peur d'aimer pour ne pas souffrir, peur de s'attacher pour ne plus pleurer... Où était-elle ? Ici sans l'être vraiment, errant dans un monde de trouble tourmenté sans aucun doutes elle poussa un léger soupir qui résonna doucement...

L'astre lunaire avait disparut pour laisser place à son unique contraire... L'aube était arriver emportant avec elle peur et pleure de la nuit passé... Emmenant avec elle mélancolie et inconnue d'un jour suivant, Marya se leva calmement et monta une à une les branches d'un cerisier. Plus proches de son ciel bien aimé, elle pouvait contempler plus longuement une nouvelle journée arrivait. Un oiseau, un corbeau, se posa sur une branche non loin d'elle... La fixant de ses yeux doré il s'approcha et s'inclina réellement... La vampire l'avait regardait apaisait par cette être et avait voulut approcher sa main... Elle ballait frôler la tête de l'animal quand quelqu'un arrivant fit fuir l'oiseau. Un énervement soudain la prit mais elle se contenta de rester calme, de sauter de son unique perchoir et de faire face à l'inconnu, à l'arrivant, qui peut être allait la sortir de ses ancien pleures... Qui peut être allait changer cette unique utopie du désespoir qui sévissait en elle...